La différence de notoriété entre les écoles d’ingénieurs qui recrutent après le bac et celles qui s’adressent aux classes préparatoires s’amenuise d’année en année. En l’espace d’une quinzaine d’années, les premières ont renversé leur mauvaise réputation et jouissent maintenant d’une attractivité grandissante auprès des lycéens, mais aussi des entreprises. La recette du succès ? Une sélection à l’entrée plus drastique, afin de ne laisser entrer que les meilleurs bacheliers, mais aussi une politique volontariste en termes de stage et un ensemble d’outils pour préparer les étudiants à l’environnement globalisé dans lequel ils évolueront à leur sortie de l’école.
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Publié dans Le Nouvel Économiste daté du 13 décembre 2012
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