SA, SARL, EURL, SAS… Autant de sigles qui renvoient à une réalité complexe, celle du statut de l’entreprise. L’entrepreneur qui souhaite monter sa structure dans le cadre de la franchise n’échappe pas à cette question : quelle forme juridique convient le mieux à son activité ? Les critères à prendre en compte sont nombreux, depuis la capitalisation de l’entreprise jusqu’à la fiscalité en passant par le régime et le statut des dirigeants. Mais il convient de faire les choses dans l’ordre : avant d’opter pour une forme ou une autre, encore faut-il déterminer si la franchise correspond à la stratégie de développement la plus adaptée.
(lire la suite en ligne ou ci-dessous)
Publié dans Le Nouvel Économiste daté du 6 décembre 2013
Les commentaires sont fermés