Les entrepreneurs le savent : même en tant de crise, on ne peut se passer du rituel “voyage d’affaires”. Rencontrer ses clients et ses fournisseurs reste essentiel, quand bien même les budgets se resserrent. Il faut alors trouver d’autres postes d’économie. Selon les estimations, le transport aérien peut représenter jusqu’à 50 % du coût total d’un déplacement professionnel. Pour le contenir, les outils sont multiples : négociations avec les compagnies aériennes, recours au low-cost, gestion des frais auxiliaires, remboursement de la surcharge carburant ou encore contrôle des commerciaux, sont autant de leviers pour limiter la dépense. À condition que voyageurs et fournisseurs respectent les programmes convenus.
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Publié dans Le Nouvel Économiste daté du 10 janvier 2013
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