C’est une arme à double tranchant. Mal préparée, l’expatriation d’un salarié peut tourner à l’échec cuisant, tant pour lui que pour son entreprise. Mais l’expérience peut aussi se conclure de la meilleure des façons, et présenter un retour sur investissement énorme. Encore faut-il maîtriser le facteur numéro 1 du succès en la matière : le management. Et donner à la DRH la prérogative qui convient: celle de support au business.
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Publié dans Le Nouvel Économiste daté du 19 janvier 2012
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