A l’ère du tout virtuel, Internet s’invite sur le marché de la mort. Les entreprises de pompes funèbres développent devis et sites de condoléances en ligne, mais refusent l’idée d’un modèle complètement désincarné qui se passerait du contact humain. Parallèlement, de jeunes pure-players émergent pour proposer mausolées virtuels, coffres-forts numériques et retransmission en direct des cérémonies d’obsèques.Une offre présentée comme une réponse à une société mondialisée et avide de nouvelles technologies, mais qui peine encore à bouleverser le rapport à la mort, profondément empreint de tradition. Dès lors, opérateurs traditionnels et services en ligne évoluent encore dans deux univers parallèles.
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Publié dans Le Nouvel Économiste du 5 au 11 avril 2012
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